LA SUCCESSION, une histoire de FAMILLE

A l'époque de nos grand-parents le métier était plus difficile qu'aujourd'hui, ils se sont donnés du mal pour transmettre le minimum pour vivre de ce métier à nos parents, avec les moyens qu'ils avaient.

(l'étable de Marie)

Nos parents ont repris les exploitations familiales et les ont faites évoluer du point de vue technique.

Mais ils n'oublient pas que les générations précédentes se sont donné beaucoup de mal, et nous savons que maintenant c'est à nous de faire le mieux que nous pourrons pour arriver à améliorer, à notre tour, ces exploitations.

Montrer que pour nous aussi l'agriculture n'est pas seulement une profession, mais aussi une passion, on a ça dans le sang, depuis toujours...l'amour des bêtes, du métier...C'est peut-être grâce à cela que l'on arrivera à en vivre, malgré les difficultés.C'est aussi la fierté qui nous guide, celle de poursuivre ce patrimoine familial qui nous est si cher.

COMMUNIQUONS LA FIERTE D'APPARTENIR AU MONDE AGRICOLE

MARIE :

 je suis fille d'agriculteurs, mes parents sont en double troupeau (Salers et Montbéliardes) avec fabrication fromagère. Ils ont décidé de faire du fromage pour une meilleure valorisation , et également pour avoir des produits frais.

 

ELODIE P. :

 mes parents sont en double troupeau ( Montbeliardes, Holstein , Pie Rouges et Salers) , nous sommes dans le nord Cantal. Ils ont décidé d'avoir deux systèmes car le lait permet une rémunération, et si une année ça ne va pas dans un des domaines, l'autre compense.

Mais le futur il est question de tout passer en allaitant.

ELODIE L. :

 mes parents sont en double troupeau (Salers et Montbéliardes) . Mon père a repris l'exploitation familiale en arrêtant la traite des Salers.Ils ont deux systèmes car ils aiment les deux races et cela permet deux revenus.

SYLVIE : 

mes parents sont aussi en double troupeau Salers et Montbéliardes. Lorsque mon père a repris la ferme il n'y avait que les laitières, c'est lorsque ma mère est arrivée que les allaitantes ont été rajoutées. Lorsque je reprendrai, je ne garderai sûrement que les Salers.